Pierre Vaneck

***

 

LE TEMPS D’UN REGARD et voilà que tu me quittes.

L’IRONIE DU SORT, c’est que

LE PASSAGE se produit au moment de

LA MORTE SAISON DES AMOURS.

CELUI QUI DOIT MOURIR, ce ne devait pas être toi. Tu m’avais promis des

VACANCES PORTUGAISES, là où l’on regarde

LE SOLEIL EN FACE pendant

 

LES GRANDES MAREES  

 Aujourd’hui

LA SCIENCE DES REVES va me permettre de vivre

LA REPETITION de nos promenades sur la

GARONNE. De toi, il me reste

LE COLLIER DE VELOURS puisque

LA VIE EST EN PIECES. Ni

LOUIS PAGE ni

FABIEN COSMA pourront me consoler. Tu peux être sûr que

SUR LA TERRE COMME AU CIEL, tu resteras dans mon cœur.

LES YEUX D’HELENE pleurent aussi, tout le monde a le

VERTIGES. Oui, même si

LA VIE EST COURTE, j’attends avant de retrouver

LA-BAS… MON PAYS et ton amour.


Maud














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