c’était
L’ETE.
qui
se déroulait à
PARIS,
RUE
DE LA SOIF à
PIGALLE
LA BLANCHE. Aprés
avoir bu
LA
DERNIERE BOUTEILLE pour
chasser tes
IDEES
NOIRES en
compagnie des
FRERES
DE LA COTE,tu
as voulu te
DISTINGUE
en
jouant
LES
BARBARES,
LE
SEIGNEUR DE LA
GUERRE.
Tu
as été obligé de
partir à
SANTIAGO,
dans l’
ELDORADO,
L‘ESPAGNE
et le
NICARAGUA
. C’est-ce
que l’on appelle :
l’
EXIL.
Pendant
ce temps,moi
j’aurai voulu
remonter
LA
MACHINE du
temps.
LA
PEUR de
ne plus te revoir…
me hante. Je t’en
supplie:
BATS-TOI,
je
te sens
SOLITAIRE,
au milieu du
TRAFFIC.
Pense
à
DES
MILLIERS DE BAISERS
PERDUS. Je
ne veux plus être
la
FEMME
-OBJET.
N ‘APPARTIENS
JAMAIS A PERSONNE,je
veux une
NUIT
D’AMOUR.
JE
TE RECONNAITRAI, tu
es toujours en
NOIR
ET BLANC. Je
serais près du
JUKE-BOX.
NON
ÇA S’PEUT PAS que
tu m’ais oublié.
Même s’il
Y
A PEUT-ETRE UN
AILLEURS. Nous
deux, c’est:
A
SUIVRE.
Maud