Lettre ouverte à


Francis Lalanne


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QUE LA VIE EST TRISTE lorsque que l’on ne peut pas

OUVRIR SON CŒUR.

NI LES MOTS NI LES MAINS ni

LES LARMES ne suffisent pour exprimer

LE CRI DU PAPILLON.

L’AME DE L’HOMME est sensible puisque je me souviens de

LA PLUS BELLE FOIS QUE L’ON M’A DIT JE T’AIME  

LE JOUR DE L’AN 200 sur

LE PONT MIRABEAU. Je n’étais plus

L’ETRANGER mais 

L’HOMME LIBRE. Je veux que ma vie soit un

ROMAN où l’on puisse lire : « chez moi, c’est 

LA MAISON DU BONHEUR ». Je veux oublier 

CELLE QUI M’A FAIT SI MAL et remercier 

CELUI QUI INVENTA L’AMOUR pour 

VIVRE HEUREUX ENSEMBLE. Merci, papa

TOI, MON VIEUX COPAIN, grâce à toi

JE RESTE EN FRANCE.

ON SE RETROUVERA, c’est mon

DESIR,

IL FAUT Y CROIRE car

ON SE RESSEMBLE. Pour le moment :

DORS, MON PETIT PAPA.