est
là pour me rappeler
votre départ.
MOURIR POUR DES
IDEES , c’était
LE TESTAMENT que
vous nous laissez:
AVOIR
UN BON COPAIN, oui,
LES
COPAINS D’ABORD, tant
pis pour
LES ILLUSIONS
PERDUES
CUPIDON S’EN FOUT.
LA PRIERE,
LE CAUCHEMAR, c’est
LE TEMPS PASSE avec
LES AMOURS
D’ANTAN, mais
SI LE BON DIEU
L’AVAIT VOULU,
vous seriez toujours
là pour nous dire:
«LES CHATEAUX DE
SABLE ne
permettent de voir
que
L’ARC EN CIEL
D’UN QUART
D’HEURE
DANS L’EAU DE LA
CLAIRE FONTAINE après
L’ORAGE
IL
N’Y A PAS
D’AMOUR HEUREUX ».
LES PRENOMS EFFACES
par
LE VENT ne
ramèneront pas
LES AMOUREUX DES
BANCS PUBLICS.
Je voudrais être
LA
PREMIERE FILLE à
vous dire:
« ON
N’A PAS BESOIN DE
LA LUNE pour
comprendre que sans
vous,il y a
UNE
OMBRE AU TABLEAU.»